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Le Racing-Métro 92

 

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 14:39

Sans titre-1 copieLes primaires de la droite à Colombes auront lieu le dimanche 15 septembre prochain. 9 bureaux de vote seront ouverts, de 9h à 20h. Les bureaux seront distribués en fonction de votre canton : 3 au canton sud, 3 au Nord-ouest et 3 au Nord-Est. Selon votre bureau de vote habituel (indiqué sur votre carte d’électeur), vous serez ainsi dirigé vers l’un des trois, selon une répartition qui vous sera détaillée dans un courrier distribué à la Rentrée.

Votre participation est essentielle. De l'importance de votre mobilisation dépendra la victoire espérée en mars prochain contre le Maire sortant.

Cette primaire peut apporter une belle dynamique à la campagne, si de nombreux Colombiens viennent voter et donnent au gagnant une victoire nette et claire. Il ne faut pas d’un résultat mitigé qui risquerait de fragiliser la future campagne contre la Gauche. L’enjeu est là : de l’ampleur du résultat du dimanche 15 septembre prochain découlera l’élan indispensable à la conquête de la Mairie.

Nicole Goueta est la meilleure candidate de la Droite à Colombes. Un sondage commandité par l’UMP l’a prouvé : elle arrive largement en tête des autres candidatures, à Droite. Elle seule peut, peut-être, l’emporter face à Philippe Sarre. Pas de dispersion possible. Il faut que chacun se mobilise pour que Nicole sorte vainqueur du duel des Primaires et que la véritable campagne contre la Gauche commence enfin.

L’heure est grave, car la mobilisation reste difficile en période de vacances. Et l’information passe mal. Certain imagine que ce vote est sans intérêt et ne souhaite pas participer au duel qui s’annonce. Ce serait une grosse erreur. Ne pas aller voter le 15 septembre prochain, c’est donner une chance à la Gauche.

Aujourd’hui, vous pouvez apporter votre parrainage à Nicole Goueta, à sa permanence (2 rue Hoche), accompagné d’une copie de votre carte d’identité et de votre carte d’électeur. Ce week-end, c'est le dernier délai. C’est donc maintenant qu’il faut se mobiliser, vous et autour de vous, pour un soutien massif au candidat le mieux placé qui pourra faire gagner la Droite et remettre Colombes dans le bon chemin.

Nicole compte sur vous. Et moi aussi.

 

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27 mai 2013 1 27 /05 /mai /2013 15:58

Affiche Tous pour ColombesVous êtes tous invités à l'inauguration de la nouvelle permanence de campagne de Nicole Goueta, en vue des élections municipales de mars 2014.

 

2 rue Hoche à Colombes (près de la gare)

MERCREDI 29 MAI 2013 à 19 HEURES

 

 

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22 mai 2013 3 22 /05 /mai /2013 14:07

balanceIl existe un indicateur qui permet de mesurer la richesse d’une ville, en termes de fiscalité. Il s’agit du taux de foyers imposables par rapport au total des foyers fiscaux.

Pour donner une indication, à La Garenne-Colombes, il est de 75 %, à Gennevilliers de 45 % en 2009. Dans les Hauts-de-Seine, il se situe autour de 65 %, selon l’INSEE.

De quoi s’agit-il ? De justice fiscale. D’équilibre fiscal. De mieux répartir la charge d’une collectivité sur ses administrés, avec une gestion plus respectueuse des  contribuables qui participent au budget communal. On ne peut imaginer faire peser sur une trop faible minorité la totalité des efforts fiscaux. Quel rapport entre l'impôt local (Taxe d'habitation et Taxe Foncière) et le revenu fiscal ? Si vous ne payez pas d'impôt sur le revenu, vous payez quand même la taxe d'habitation ou  la taxe foncière ! Bien sûr, mais, vous verrez votre taxe d'habitation plafonnée selon votre revenu : 23.572 € pour la 1ère part de quotient familial, majoré de 5.507 € pour la 1ère demi-part et de 4.334 € pour les demi-parts supplémentaires. Autant dire que les impôts locaux reposent majoritairement sur les épaules des assujettis sur le revenu.

Qu’en est-il à Colombes ?

En 2006, le taux de foyers imposables s’établissait à 60,1 %. En 2008, il grimpa à 60,6%. Cette hausse prouvait la bonne santé retrouvée de la ville qui parvenait à attirer de nouveaux contribuables en son sein, et permettait ainsi une plus juste répartition de l’effort fiscal.

Mais après, patatras… En 2009, chute du taux à 59,6%. En 2010, le taux baisse encore à 59,3%. En 2011, il ne reste plus que 58,9% de foyers imposables, sur la totalité des foyers fiscaux colombiens, qui eux grimpent toujours (+1% entre 2008 et 2011). En résumé : plus habitants (+3.15% entre 2007 et 2012), plus de foyers fiscaux, mais moins de Colombiens qui paient l'impôt... La charge de l’impôt se retrouve concentrée sur un nombre toujours plus restreint, alors même qu’elle est en augmentation constante - y compris en comptant l’inflation (8.8% sur la période 2008-2012). En 2011, 27 859 foyers imposables sont comptabilisés pour 47 264 foyers fiscaux, alors qu'en 2008, il y en avait 27 972, pour 46 763. Donc moins d'imposés. Pour davantage de Colombiens. Notre ville s'appauvrit et exige toujours plus de ces contributeurs.

Cette situation est intenable pour le contribuable colombien et dénote une absence totale de volonté de la municipalité de gauche, de vouloir rééquilibrer la charge pesant sur les épaules des foyers imposables. Faire payer les riches pour les pauvres ? Des riches ? A Colombes, la majorité des foyers imposables concernés déclare moins de 30 000 € par an.

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2 mai 2013 4 02 /05 /mai /2013 14:25

cadeauExaminons le Budget Primitif 2013 et comparons-le avec celui de 2008....

Les recettes de la Taxe d’Enlèvement des Ordures ménagères, que vous payez avec votre taxe foncière, ont augmenté de 15,5% depuis 2008, passant de 7,7 millions à près de 9 millions d’euros.

Les recettes de l’ensemble des impôts, ont augmenté de près de 20% depuis 2008, passant de 71,9 millions à près de 90 millions d’euros.

Alors que Philippe Sarre faisait la promesse en 2008 de ne pas augmenter  les impôts : « nous poursuivrons régulièrement la baisse des impôts locaux » écrivait-il dans son programme, les Colombiens constatent sur leur avis d’imposition, une augmentation bien mal dissimulée.

Et pour la TEOM, ce n’est pas au bénéfice de la propreté de notre ville ! Pourtant, le contrat d’enlèvement des ordures ménagères avait été revu à la baisse, en 2010, avec des tournées en moins, une réduction des fréquences de collecte et la reprise en régie de la maintenance des bacs. Résultat : une diminution des coûts de plus de 375 000 €. Mais aucune répercussion sur la feuille d’impôt !

Cette pression fiscale est inacceptable et injustifiée.

Notre ville n’est plus gérée : dérapage de la dette (+31 %, de 105 à près de 155 millions d’Euros en 2013), dérive des coûts de fonctionnement (+8%, de 1380 €/habitant à 1500 €/habitant).

Ce gaspillage est compensé par vos impôts qui ont augmenté de 20 % durant la durée du mandat de Philippe Sarre, sans que la municipalité ait même daigné vous en parler…

 

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25 avril 2013 4 25 /04 /avril /2013 18:16

1198681 archive-police-2 640x280Après la gare du Grand Paris, la baisse des impôts, Philippe Sarre est encore pris dans en flagrant délit de mensonge.

Le gouvernement avait annoncé le 15 novembre dernier, la liste des 49 nouvelles Zones de Sécurité Prioritaire. Asnières et Gennevilliers y figuraient. Philippe Sarre s’était rendu auparavant au Ministère de l’Intérieur pour faire valoir le cas de Colombes, avec ses fusillades, règlements de comptes, etc… 

L’enjeu ? Obtenir davantage de moyens pour la Police Nationale. Or, au grand désarroi de notre Maire, premier fédéral du PS92, rien pour notre ville, lors de l’annonce du Ministre.

Philippe Sarre avait alors donné une interview à un site internet pour nous raconter l’histoire croquignolesque suivante : le voilà apprenant la mauvaise nouvelle, appelant le Préfet et lui enjoignant de revoir sa copie en intégrant le quartier des Fossés-Jean. Et là, miracle ! Tout le monde obtempérait et Colombes était comptée parmi les nouvelles ZSP.

Or, il n’en est rien. La question est posée directement à Manuel Valls (autant demander au Bon Dieu qu’à ses Saints…). Réponse de son cabinet : "la ville de Colombes ne s'inscrit pas dans le cadre de ce dispositif de sécurité" = Colombes n’est pas dans la liste des Zones de Sécurité Prioritaires. Philipe Sarre a menti. Aux Colombiens.

 

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20 mars 2013 3 20 /03 /mars /2013 09:59

On le sait bien, il n’est pas permis à un maire, par exemple, de s’exonérer du code des marchés publics pour la fourniture de matériels, ou des prestations de service. Des règles s’appliquent afin de garantir les principes de liberté d'accès à la commande publique, d'égalité de traitement des candidats et de transparence des procédures, quelque soit le montant de la commande. Des règles de droit, qui évidemment, ne viennent que se superposer aux exigences de l’honneur et de la probité qui vont de soi.
Or, il s’avère que pour une affaire quoique particulièrement exposée, Philippe Sarre a, semble-t-il, fait fi de toute prudence, pour le moins, concernant le choix du prestataire qu’il a fait payer sur les fonds municipaux.
Il s’agit de la mise en cause de Rama Yade en raison de sa domiciliation électorale à Colombes, suivie de trois plaintes en diffamation portée à l’encontre de l’ancien ministre. Ces procédures judiciaires ont été préparées et suivies par un cabinet d’avocats, le cabinet JPGD, choisi par Monsieur Sarre. Rien que de très normal, jusque là. Sauf qu’il ne s’agit pas d’un cabinet lambda. Ce cabinet est dirigé par Julien Gautier, avocat au barreau des Hauts-de-Seine. Le J et le G du cabinet sont les siens… Et les initiales P et D,  celles de Pierre Degoul, son associé et conseil affiché de Philippe Sarre lors de son procès… Et aussi, comme par hasard, des trois « citoyens » de Colombes qui ont également porté plainte contre Rama Yade... Mais Julien Gautier est surtout connu comme Conseiller Municipal délégué de la majorité socialiste de Monsieur Sarre. Donc, si l’on suit bien, le maire a fait payer la société d’un conseiller municipal par le budget municipal (les engagements sont d’ailleurs signés de sa main), l’ordonnateur devenant donc le client. Comme si, par exemple, le maire d’une commune demandait à la société d’un conseiller municipal à la tête d’une entreprise d’électricité, de doter de nouveaux radiateurs l’école du coin…
Pour l'heure, l'ensemble des émoluments payés au cabinet de Monsieur Gautier,  près de 17 000 € (dont une consignation) n'a pas encore atteint le seuil obligeant la commune à passer par un appel d'offres en bonne et due forme. Mais, on est très très près… Gageons qu'avec les affaires encore en cours, le montant sera bientôt dépassé... Et là les choses vont devenir de plus en plus difficiles à camoufler pour Philippe Sarre qui devra s’expliquer devant les Colombiens, sur l'usage qu'il fait de leurs impôts.

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3 mars 2013 7 03 /03 /mars /2013 11:37

rythmesSans réelle concertation, ni débat, le décret sur la réforme des rythmes scolaires a été signé par le Ministre de l’Education Nationale et publié le samedi 26 janvier 2013 au Journal Officiel. Il prévoit une nouvelle organisation dans les écoles maternelles et élémentaires. Attention, il ne s’agit pas d’augmenter le nombre d’heures de cours des enfants, mais d’étaler les 24 heures d’enseignement hebdomadaire sur neuf demi-journées, et cela dès la rentrée de septembre 2013.
Qu’en est-il à Colombes ? On pourrait attendre d’une municipalité dirigée par un ancien directeur d’école une attention particulière sur cette question. Rien.
Personne n’est capable d’affirmer que ce changement sera mis en place dès la rentrée prochaine à Colombes. Mais, alors, si ce n’est pas en 2013 ? Quand serait-ce ? En 2014 ? Le Maire doit rendre sa copie avant le 31 mars 2013. Vraisemblablement, il va décider le report pour 2014… Car rien n’est prêt à Colombes. Mais alors, qu’en est-il de la subvention exceptionnelle octroyée par l’Etat à la Commune, pour accompagner ce changement, à la rentrée 2013, soit 50€ par élève (10000 élèves à Colombes) ? On aurait donc les moyens de perdre 500 000 € ?
Hormis ce point financier, il reste à organiser le nouveau temps scolaire. La Commune aura une lourde responsabilité, dans ce changement, car ce sera à elle de prendre en charge les nouveaux temps périscolaires, après la fin des cours, à 15h30. Il doit être prévu pour les élèves, le lundi, mardi, jeudi et vendredi, entre 15h30 et 16h30, « des activités sportives, culturelles, artistiques qui contribueront à développer leur curiosité intellectuelle et à renforcer le plaisir d’apprendre et d’être à l’école ». Donc, 4 heures par semaine, organisées et prises en charge par la Commune, à parité (ce point n’est pas encore défini..) avec l’Education Nationale. On peut évaluer ce changement à plus d’1million d’euros par an, à peu près 100€/élève (certains avancent même le coût de 150€...), en considérant les charges de personnels, le prix des activités, fournitures, etc… C’est très important. Qui va payer ? La commune ? Les parents ? Et surtout, tout cela semble complètement oublié par la municipalité qui n’a rien prévu, rien préparé. Le programme de ces activités ? Personne ne sait ? Qui les animera ? On ne sait pas… Les profs ? Des animateurs de centre de loisirs? Ils feront la grève le 5 mars pour protester contre l'impréparation de cette réforme... Le ministère réfléchit alors à modifier le taux d’encadrement par élève pour moins avoir d’animateurs à prévoir, par groupe d’enfants. Mais pour ca, la municipalité doit se doter d’un projet éducatif territorial (PEDT) élaboré avec « l’ensemble des acteurs intervenant dans le domaine de l’éducation : administrations de l’État concernées (éducation nationale, sports, jeunesse, éducation populaire et vie associative, culture, famille, ville...), associations, institutions culturelles et sportives, etc. ». Où est-il ? Enfin, la demi-journée ajoutée sera-t-elle sur le mercredi ou le samedi matin ?
Que se passe-t-il ? Eh bien c’est très simple. On n’en sait rien. Pas de réponse claire, alors que depuis 2008, l’adjointe au Maire en charge des écoles étudie la révision des rythmes scolaires…

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17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 16:58

portrait NGChères amies, chers amis,

Je vous écris, à chacun d’entre vous, pour vous faire part de ma décision de me présenter, avec vous, au suffrage des Colombiens, en vue des prochaines élections municipales.
 
Je veux refermer la parenthèse socialiste et remettre notre ville sur la voie du redressement.
 
Vous me connaissez depuis longtemps. Vous savez combien j’aime ma ville. Une ville qui est toute ma vie. Une ville pour laquelle je me suis investie depuis 1981, au moment où Mitterrand a été élu. Une ville que j’ai arrachée aux Communistes, avec vous, après 36 ans de pouvoir continu.

Vous vous souvenez sans doute de la ténacité qu’il a fallu, de l’acharnement, de la patience, de l’énergie, de la constance. Cette victoire, elle ne nous a pas été donnée. Nous l’avons gagnée. Parce que nous avons combattu. Contre la Gauche, bien sûr. Qui rêve maintenant de transformer Colombes en Gennevilliers, et de l’inscrire à jamais dans son orbite, sous sa coupe. Nous avons aussi combattu contre tous ceux qui ont voulu nous diviser. Déjà à l’époque et, à nouveau, aujourd’hui.
 
Vous le savez. J’ai accompli avec mon équipe, entre 2001 et 2008, un travail titanesque. La dette a été maîtrisée alors que Colombes était menacée de faillite. La sécurité a été rétablie grâce à l’installation d’une Police Municipale et de la vidéo-protection. L’activité économique a connu un essor extraordinaire créant ainsi de l’emploi et une dynamique de croissance pour toute notre ville. La zone pavillonnaire, avec de nombreuses rues rénovées et de nouveaux candélabres, est sortie de l’abandon dans laquelle on la maintenait. Les quartiers nord ont fait l’objet d’une restructuration profonde pour mieux les intégrer, grâce à la convention ANRU que j’ai signée en janvier 2008. Les écoles ont bénéficié d’un plan de rénovation d’envergure, etc, etc...
 
Bien sûr, des erreurs ont été commises. Des problèmes sont restés. Je suis lucide sur mon bilan. J’ai beaucoup compris de ma défaite en 2008. Et pendant tout ce temps d’opposition, j’ai encore appris. A vos côtés, j’ai tenu dans l’adversité de la Gauche comme dans celle de certains à Droite. Grâce à vous, à votre soutien, à votre écoute. Et avec la certitude du devoir qui reste encore à accomplir pour ma ville.
 
Aujourd’hui, les Colombiens ont besoin de nous, rassemblés. En ordre pour la reconquête de Colombes, l’an prochain. C’est une exigence obligatoire si nous voulons le succès.
 
Les instances nationales de l’UMP choisiront les candidats investis juste avant l’été. Donc nul besoin, pour certains, de venir nous diviser et de jouer la confusion, avant l’heure. Gardons notre calme. Et surtout, ne donnons pas le spectacle public navrant d’une opposition déchirée, qui ravirait tant la Gauche, déjà passablement rassasiée, l’an dernier, par le vote interne pour le Président de l’UMP !
 
Les personnalités départementales de l’UMP ont apporté leur soutien à ma candidature. Sur la base de la légitimité conférée par le suffrage des Colombiens à de nombreuses reprises. Et de leur reconnaissance, de leur confiance. Je suis sereine et déterminée face à cette échéance. Car je sais pouvoir m’appuyer sur vous. Je connais votre attachement à la réalité, à la vérité du travail fourni et des résultats obtenus, face aux beaux discours et belles promesses.
 
L’heure du combat va bientôt sonner. Pour la reconquête de notre ville. J’ai mené bien des batailles. Et je sais que cette bataille peut être gagnée. Je veux mettre mon expérience de Maire et maintenant de Conseiller Général au service de notre ville. J’ai la force de lutter et l’envie de vaincre, pour reprendre le travail commencé et remettre Colombes dans le bon chemin. Nous le ferons tous ensemble, avec vous bien sûr, mes chers amis, et avec tous ces Colombiens qui nous rejoignent déjà.
 
Vous pouvez compter sur toute ma détermination.
   
Nicole Goueta

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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 10:13

arena92.jpgTout n’est peut-être pas encore plié… Vous connaissez bien la situation. Rappelons quand même cette histoire que tout le monde sait. Le Racing gagne. Le président du Racing voit grand et veut un beau stade. A Colombes. Puis, le projet évolue et on voit de plus en plus grand, de plus en plus beau. Et Colombes ne suit pas. Le Maire petit bras, le laisse partir. Le Racing doit s’en aller à Nanterre, derrière la Grande Arche,  et annonce la construction d’un stade, couvert,  entièrement privé de 40 000 places, dessiné par Christian de Portzamparc, avec des hôtels, bureaux, etc.. C’est l’Aréna 92. Date prévue d’installation, en 2014.
Nous sommes en 2013. Les travaux n’ont pas démarré. Que se passe-t-il ?
D’abord, la date d’achèvement des travaux a été repoussée à fin 2015. Puis, on apprend que le coût estimé, de l’ensemble, a été réévalué à 350 millions d’euros. Et enfin, que le tour de table qui prévoit une participation des banques, essentielle au projet, n’est pas bouclé. Le financement ne serait pas réuni. Les banques ne prêteraient plus et jugeraient le projet délicat, à l’équilibre fragile. Trop privé... Et pas assez public...
Mais alors, si l’Aréna ne pouvait se faire à Nanterre, que pourrait-il arriver ? On se souvient que par-dessus le marché, les Nanterrois avaient accueilli cette arrivée avec circonspection, les riverains avaient déposé des recours, retardant les choses, les élus socialistes nanterrois s’opposaient au projet…
Je voudrais dire à M Lorenzetti deux choses. Si nous passons en 2014, nous voulons que vous restiez à Colombes et nous mettrons les moyens pour cela. Votre équipe est magnifique. Les foules qui arrivent de partout, de France, d’Europe, à Colombes, à Yves-du-Manoir, sont une chance formidable pour notre ville. Les matchs sont des moments de rencontres, de fêtes irremplaçables. Que si vous devez revoir votre projet pour qu’il se réalise, nous vous accompagnerons, jusqu’au bout. Parce que le Racing, c’est Colombes. Et Colombes, c’est le Racing.

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10 février 2013 7 10 /02 /février /2013 18:46

2013-02-10-09.56.02.jpgLa rue Saint-Denis va devenir piétonne entre la Gare et le Boulevard de Verdun. C’est une décision autoritaire du Maire qui a bâclé la concertation en ne laissant que moins de six mois à la population, et surtout aux riverains, pour s’exprimer. Du côté des commerçants, convoqués à part lors des rares réunions publiques, comme des parias, c’est l’amertume. Vent debout contre ce projet du tout-piéton, ils n’ont pas été écoutés, ni entendus. Et ils en paient les frais aujourd’hui que les travaux ont commencés. Déjà, lors des fêtes de fin d’année, les illuminations, guirlandes et autres décorations n’ont pas été posées comme à l’habitude. Et le chantier a démarré, au tout début des soldes de janvier ! Comme si rien ne devait leur être épargné, à notre commerçants, les travaux se déroulent, sans aucune communication, ni barriérages qui valoriseraient un tant soit peu notre pauvre rue transformée en bourbier, forçant les passants à slalomer entre les engins, les trous et les tuyaux. Bref, du grand n’importe quoi. Si l’on voulait étrangler le petit commerce du centre-ville, on ne s’y prendrait pas autrement.
Pitié pour notre centre-ville, Monsieur le Maire, arrêtez le massacre. Les commerçants voient leur chiffre d’affaire fondre. Comme si la crise n’était pas suffisante. Et derrière, il y a des emplois, des familles, qui se trouvent mis en danger. Le centre-ville, c’est un peu un comme écosystème. Où tout est lié. Les clients, les commerçants, les habitants. Quand un commerce souffre, c’est toute la rue qui se trouve fragilisée. Quand la dynamique et la croissance sont là, c’est tout le centre-ville qui en bénéficie.
Aujourd’hui, notre centre-ville est en péril. Il va falloir que la municipalité comprenne que l’on ne peut se passer des commerçants pour animer notre rue Saint-Denis, et les traiter ainsi, pendant les longs mois que vont durer les travaux, c’est leur promettre une mort à petit feu.

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