Les sympathisants, militants, et autres groupies des anciens élus socialistes, communistes ou verts dépassent les bornes.
Emplis de hargne, de morgue, ils ressassent leur haine sur les réseaux sociaux. Comment ? Evidemment, ils ont choisi Nicole Goueta comme cible. Depuis quelques semaines, ils n’ont de cesse d’attaquer le nouveau Maire de Colombes. C’est normal ? Oui, peut-être. Mais pas comme ça. Tout y passe : attaque contre le faciès, contre l’âge, insinuations, menaces, rumeurs, injures, diffamations… Rien n’arrête ces enragés qui banalisent dans leurs insultes les amalgames avec Hitler, ou Pétain, etc… Une violence inédite qui en dit long sur la rage qui anime des gens que l’ancienne municipalité n’a cessé d’abreuver de haine à l’encontre de ceux qui ont – quelle horreur – l’outrecuidance de penser différemment !
Je vous laisse juge : « Une preuve flagrante du racisme de la droite sarkozyste. Le maire sarkozyste de Colombes efface le terme mosaïque du journal local. » ; « c'est vrai qu'elle est grosse, mais quand même » ; « vous et vos sbir je vous jetterait bien dans une benne a ordure bande d'incapable » ; « L'enfer c gouetta Satan en personne! » ; « mamy fait de la résistance ? je l'aurais plutôt imaginé dans le camp des collabos » ; « En soins palliatifs con la débranche alors et vite ont la pleura pas ».
Je vous en passe et des bien pires.
Philippe Sarre n’est pas pour rien dans ce déferlement de haine. A force de désigner la droite locale comme « la bête immonde », de ne cesser d’agiter les peurs, de brandir le racisme comme étendard, de vouloir manipuler les « communautés », de jouer la victime d’une majorité « qui ne respecterait pas la démocratie », certains se sentent autorisés, encouragés à faire preuve d’une « résistance » justifiée par les dires, les actions et les écrits des anciens responsables de la gauche colombienne.
Jamais, Monsieur Sarre, vous n’avez été traité de cette manière. Encore heureux ! Nous pouvons ne pas être d’accord sans nous insulter comme des chiffonniers. Mais là, vous ne réagissez pas. Vous laissez faire. Si vous ne calmez pas vos troupes, bientôt, vous serez complice de ce tombereau d’injures. Drôle de conception de la démocratie et du respect.