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Le Racing-Métro 92

 

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31 janvier 2020 5 31 /01 /janvier /2020 15:48

Le classement publié par le magazine Le Point et l’IFRAP portant notre commune à la première place du classement des communes de plus de 80000 habitants les mieux gérées de France, a suscité beaucoup d’enthousiasme chez les Colombiens et un peu de jalousie dans l’opposition municipale…

J’ai entendu des commentaires chafouins prétendant que ce classement avait été payé… Il n’est en rien bien sûr ! Il m’est aussi revenu qu’une ancienne tête de liste – qui avait abandonné son équipe au soir du 1er tour en 2014 - avait rédigé une sorte de rapport négatif sur la gestion colombienne…

Tout cela est navrant. Que n’auraient-ils pas dit si nous avions vu notre ville classée à la dernière place ! Comment ne pas tous nous satisfaire de constater qu’enfin Colombes se trouve dans une situation financière saine ? Ces attitudes ne sont pas au niveau des attentes des Colombiens et paraissent bien davantage animées par les ressentiments et les amertumes que tournées vers la construction d’une gestion équilibrée propre à favoriser le développement de notre ville tout en assurant un meilleur niveau de services bénéficiant à tous.

Rappelons aussi d’où l’on vient ! En 2001, la ville affichait une situation proche de la faillite. Après des efforts difficiles, la situation a été redressée en 2008. Colombes connaissait alors une funeste alternance avec la municipalité de gauche à laquelle participaient des élus qui se trouvent aujourd’hui sur les listes En Marche et de la Gauche. Funeste, parce qu’en 2014, tout était à refaire : les efforts des Colombiens avaient disparu avec un grave dérapage des dépenses. Et il a fallu alors encore 6 ans pour tout reconstruire. Quelques chiffres : la dette a baissé de 20 % depuis 2013 ; Près de 270 millions d'euros investis en 6 ans ; 0% d'augmentation des taux d'imposition ; Stabilité des charges de fonctionnement autour de 1500 €/habitant ; une capacité d'autofinancement en hausse à plus de 28 M€. Aujourd’hui, notre ville se trouve bien gérée. Enfin !

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26 décembre 2018 3 26 /12 /décembre /2018 15:20

Les dernières semaines ont terrifié les Parisiens. Et nous avec. Ici, on n’aura d’ailleurs guère retenu que les vandales, les barbares hyper-violents qui cassent tout, pillent tout. Le choc et le dégoût. Ouf, le plus gros a l’air d’être passé. Merci aux forces de l’ordre.
Mais, il faut pourtant s’interroger. A Colombes, pas de Gilets jaunes. Vous en avez vu ? Moi pas. Peut-être parce qu’il n’y a aucun rond-point ? Alors quoi, notre ville serait hors du temps, de l’histoire, du mouvement ?
Regardons un peu ce que cela pourrait bien vouloir dire. Il est urgent pour tous ceux qui veulent penser la ville et entendent proposer quelques idées, de se pencher sur ce phénomène, surtout si les symptômes qui sont visibles partout, demeurent invisibles chez nous. 
Si les manifestations étaient d’abord sociales, nous – Colombes - aurions bien sûr dû réagir aussi. Des pauvres qui souffrent, il y en a à Colombes. Si celles-ci avaient une dimension identitaire, des gilets jaunes auraient dû aussi apparaître : l’immigration est l’une des composantes majeures de notre population à Colombes depuis 70 ans. Si, enfin, elles portaient un profond rejet de l’impôt, nous aurions pu le constater aussi, car nous affichons dans notre ville une pression fiscale plus forte que chez nos voisines. Mais rien. Alors quel est le moteur profond de ce mouvement ?
Je crois qu’il y a deux phénomènes principaux qui se croisent et rendent la réaction inflammable. Premièrement : les Français qui ont disparu des cartes, des schémas, des statistiques, des planifications par un effet de « rationalisation » du territoire, conséquence d’une vision mondialisée et de l’inaction de certains barons locaux. Bref, la France de 2e zone, celle qui n’est plus desservie, plus reliée, plus subventionnée, plus reconnue, plus représentée. Celle qui a disparu.
Secundo : les élites (ou qui prétendent l’être) ont lâché le peuple. La responsabilité, le devoir qui s’était imposée à elles : cette mission ancestrale de protection, de respect, de lien entre le pouvoir et le peuple, le terrain, ce rôle d’interlocuteur, d’intermédiaire, de protecteur autant que de stabilisateur. Tout cela se délite, faisant des plus faibles, des citoyens sans relais, sans appuis, sans écoute. Abandonnés. D’autant plus avec la fin du cumul des mandats qui isole le député du maire. Les responsables politiques se retrouvent hors-sol et déconnectés de la population. Un dédain certain et une grande condescendance remplacent le devoir de protection de nos élites. 
L’abandon du peuple par son élite et sa disparition des radars de la modernité ? Voici les deux comburants de l’incendie.
A Colombes, cette lecture de la cause du mouvement - double faillite des politiques publiques - ne s’applique pas. Et c’est bien la raison pour laquelle notre ville s’est tenue à l’écart. On est connecté. Pas assez, mais tout de même dans le peloton de tête du pays. On est plutôt écouté : la représentation politique locale, départementale et régionale, expérimentée, ne s’est pas complètement éloignée de sa population. L'ouverture d'un cahier de doléances comme à Gennevilliers serait à ce titre une bonne manière d'améliorer la gouvernance municipale et de s'assurer d'une bonne écoute de ses concitoyens. Reste que si cette caractéristique locale, majeure et propre au maire, demeure une garantie de la solidité du maintien de notre lien social à Colombes, ces deux composantes essentielles doivent encore être solidifiées pour maintenir notre cohésion et développer notre commune à l’avenir. Car, s’il n’y avait pas de Gilets jaunes visibles, il y en avait sûrement beaucoup d’invisibles qui réagiront – à juste raison - si ce fragile équilibre venait à s’effriter.

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8 mars 2017 3 08 /03 /mars /2017 09:25

Vous n'êtes pas sans savoir qu'une opération immobilière est programmée pour raser l’îlot du Cadran pour y créer un programme de plus de 50 logements..
Il s'agit pour le promoteur de détruire les bâtiments depuis la gare jusqu’à l'avenue des tilleuls, comprenant le bar du Cadran et la "maison des médecins", remarquable villa 1900 restée dans son "jus" sur son terrain arboré, vestige unique rue Sain-Denis.

Le tout avec l'aval de la municipalité qui a voté des droits de densifier exceptionnels pour favoriser cette opération, en juillet dernier.

Aussi, je vous invite par le présent mail à trouver de l'information sur ce dossier et vous informe de l'action qui sera conduite à l'encontre de ce projet,

1. d'abord sous la forme de la pétition autour du texte ci-dessous :

L'îlot comprenant le bar du Cadran, le chocolatier, le fleuriste et la belle maison 1900 des médecins va bientôt être détruit par un promoteur qui entend le remplacer par un ensemble immobilier de plus de 50 logements jusqu'à 6 étages.
Nous voulons qu'il soit laissé une chance à ce vestige du vieux Colombes. Il faut que ce projet immobilier soit revu à la baisse et prenne en compte l'intérêt des Colombiens qui veulent que soit préserver les trop rares traces du charme du village ancien.
La recherche du profit maximum à coups de pelleteuse et de la multiplication des m2 ne peut constituer un avenir acceptable pour notre rue Saint-Denis qui reste le dernier témoignage d'un centre ville saccagé par des politiques sans conscience de la fragilité du charme d'un ensemble à préserver comme notre patrimoine à tous.

2. Enfin, un recours sera déposé dès la parution du permis de démolir (en instruction à la mairie, depuis décembre) : prévue à partie de avril/juin.

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5 novembre 2015 4 05 /11 /novembre /2015 14:35

Les conquêtes électorales de ces dernières années ont apporté de nombreux changements à notre environnement politique. Elles semblent marquer la victoire des idées de la droite face à la gauche sur nos territoires. Tout paraît donc aller pour le mieux dans le meilleur des mondes. D’autant que les régionales s’annoncent meilleures que jamais en Ile-de-France et à Colombes.

Pourtant, cette analyse ne me convainc pas. La droite a certes gagné les Municipales à Colombes et les Départementales. Mais, le reste de notre circonscription n’a vu aucun véritable changement politique et a même perdu un Conseiller au Département, avec le tripatouillage des redécoupages.

Mais si l'on regarde dans le détail, les choses se compliquent... Nous voyons bien que de moins en moins d'électeurs font confiance à la droite. Les élus sont traités de menteurs. De corrompus. De passifs. La déception est généralisée. Le dégoût est là. Dans les partis, le nombre de militants fond comme la neige au soleil. Les jeunes arrivés sont invités à coller des affiches, quand d'autres font de la politique dans leur bureau. Cette situation n'est pas acceptable à mes yeux. Elle nous décridibilise. Elle nous rend détestable aux yeux de nos électeurs, aux yeux des citoyens. Surtout quand les réformes territoriales permettent de rentabiliser les postes, en créant de nouveaux mandats, avec des indemnités à plus de 10 000 € mensuels cumulées, ou encore quand des délégations accordent une rente sans aucune réalité activité derrière. Ces dérapages ne doivent plus être la règle. Il faut faire le ménage si l'on veut regagner la confiance de nos électeurs.

Et à Colombes ? Tirons un bref bilan. La situation financière est terriblement tendue. On en connaît la cause : la gestion socialiste et écologiste a encore frappé. Plus de fonctionnaires, plus de dépenses sociales, plus d’assistanat, plus de clientélisme, plus de communautarisme, plus d’immigration. Et moins de "riches", moins de bureaux, moins de commerces, moins de professions libérales. Bref toujours plus de dépenses et toujours moins de recettes. Le résultat ? On est toujours une commune pauvre. Sans aucun moyen pour nous transformer. Avec un endettement qui repart à la hausse. Et trop peu de marges budgétaires pour changer structurellement notre ville. A moins d’augmenter nos impôts, évidemment. Et de tomber alors dans le piège grossier qui nous est tendu.

Nos quartiers, comme on dit, vont mal. Malgré les centaines de millions d’euros dépensés, toujours plus de drogue, d'insécurité, de chômage, d’échecs scolaires, de désintégration sociale, nationale, de communautarisme, de ghettoïsation.

Notre belle zone pavillonnaire ? Elle demeure en triste état. Rues défoncées, fils électriques, trottoirs envahis d’herbes, éclairages déficients…

Notre centre-ville ? Les commerçants souffrent. Les fonds de commerce sont en vente. Aucune nouvelle surface ne s'est créée depuis de longues années. Et l’activité s’en ressent. Notre ville devient une banlieue dortoir.

Et l’insécurité repart. On caillasse les policiers au Petit-Colombes et aux Fossés-Jean. Les cambriolages se multiplient. La police n’intervient pas faute d’effectif et ne prend pas votre plainte. Les dealers investissent les cages d’escaliers et rôdent près des collèges et lycées. La drogue est partout dans nos cités.

Et les impôts ? Bientôt plus de 25% de ponction fiscale depuis 10 ans. Pour un meilleur service au public ? Pour se désendetter ? Non, pour rassasier le budget municipal, toujours plus vorace.

Mais nous avons pourtant remporté les élections en mars 2014 et en mars 2015. C’est vrai. Et largement. Cependant, notre victoire est fragile. Très fragile. Notre ville est encore oscillante. Elle n’est pas gagnée. Elle a rejeté la gauche. Comme ailleurs. Mais pas vraiment adopté la droite. Alors, il faut aujourd'hui porter le renouveau. Voir plus loin. Etre fier de nos valeurs de développement, de responsabilité, d'exigence, d'autorité, de travail. Et bientôt, il va nous falloir dire vraiment ce que nous voulons faire demain. Et vraiment faire alors ce que nous dirons. Faire preuve d'ambition et de décision. Ne plus craindre les moralistes nous faire des leçons. Ne plus avoir peur de décevoir la gauche. Parce que faire notre devoir sans nous renier, c'est bien le moindre des services que nous avons à rendre à nos concitoyens.

Aujourd'hui, il nous reste à conquérir vraiment notre ville, pour la transformer en profondeur. C’est ça qu'il faut proposer. Pour que nos idées s’installent dans la durée. Et que nous bâtissions une ville qui gagne. Une ville prospère. Une ville qui attire. Une ville qui vit, qui crée, qui entreprend. Une ville où l’on reste et où on vit avec fierté. Une ville qui a les moyens de ces ambitions. Une ville qui sait aussi se mettre au service de tous ses habitants.

Bref, une ville de droite.

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30 juin 2015 2 30 /06 /juin /2015 10:55
Pasqua a dit NON.

L’idéal ou le Raisonnable. C’est tout le débat pour qui entend agir pour l’intérêt général. Un dialogue constant, entre ce qui doit être fait et ce qui devrait l’être. Ce qu’il faut faire et ce qu’il aurait fallu. Ce qu’on est et ce que nous devrions être. C’est la question fondamentale de notre vie : élever notre regard, porter haut notre projet, notre dessein, avoir le courage, l’énergie de refuser, de résister ; ou s’incliner face à une réalité, un contexte, des choix qui rabaissent, qui nuisent, et que pourtant tout et tous acceptent, par conformisme, opportunisme ou naïveté. Chacun vit son Maastricht personnel. Avec cette question lancinante : la France est-elle un pays normal que l’Europe peut absorber, normaliser, comme tous le pensent et le disent, ou bien a-t-elle une place à tenir, un rôle à jouer, un avenir particulier pour le monde, comme peu depuis le Général de Gaulle, l’ont clamé ?
Pasqua aurait pu suivre Chirac. Aurait pu dire Oui à Maastricht. Aurait pu plier. D’autres l’ont fait. Finalement convaincus, finalement vaincus, de guerre lasse. A quoi bon lutter, quand tout le monde vous dit que la guerre est déjà perdue. Mais Pasqua, Non. Il a tout envoyé paître : le parti, les amis, les emmerdes. Car l’essentiel était en jeu : la souveraineté, l’indépendance, la France éternelle. Sur la balance, son parcours, sa carrière, sa vie, pesaient peu face à une telle responsabilité. Et c’est pour ce choix, tellement fou mais tellement sensé, qu’en 1999 je me suis engagé dans le débat politique, il y a 16 ans.
Je m’en souviendrai toujours. Pasqua était à la tribune. En deux mots, il mettait la France face au vent de l’histoire. Il nous emportait dans le fracas du grand tumulte du monde. Il faisait parler la France. Et j’en suis toujours sûr : à ce moment-là, Elle lui a répondu.

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 09:21
C'est dimanche !
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13 mars 2015 5 13 /03 /mars /2015 14:52

Madame, Mademoiselle, Monsieur,
Le dimanche 22 mars prochain aura lieu le 1er tour des élections départementales qui désigneront votre futur binôme de 2 Conseillers Départementaux des Hauts-de-Seine.
Cette élection peut vous paraître insignifiante. Elle est pourtant essentielle. Parce qu’en réalité, c’est bien de l’avenir de notre ville qu’il est question, à travers la survie de notre département.
Nous, nous nous sommes mariés à Colombes, nous élevons nos enfants à Colombes, nous avons tout dans notre ville, nous y avons investi nos espoirs, notre avenir. Nous nous battons pour défendre nos idées depuis des années, pour le maintien du Racing à Colombes, de la patinoire, pour le « Village » au Centre-ville, etc.. Pour nous, la réussite de Colombes, voilà ce qui nous tient à cœur, car c’est la réussite de tous les Colombiens qui y vivent, comme nous.
Nous, nous avons choisi de vous dire la vérité. Telle qu’elle est. Aussi dure soit-elle. Notre ville ne va pas bien. Elle souffre de l’insécurité, du communautarisme, de la saleté, de son manque de moyens criants quand on regarde nos infrastructures comme nos écoles, par exemple, parce que Colombes est pauvre. Structurellement. Parce que la Gauche, depuis 50 ans, pour la conserver dans son giron électoral, a construit notre ville comme une ville « populaire » ou « mosaïque ». Ce qui veut dire en fait : pauvre. Résultat ? Les contribuables colombiens se retrouvent de moins à moins (- de 40%), et ponctionnés fiscalement de plus en plus !
Nous, on est pour un changement radical. Il faut casser la spirale de paupérisation de notre ville. Il faut aussi livrer une lutte sans merci contre les trafiquants, les bandes, l’insécurité. Il faut ne rien lâcher contre le communautarisme qui enferme les populations dans la négation de la France. Il faut se battre contre l’islamisme radical qui profite de la ghettoïsation de nos cités et attise la haine contre les valeurs de la République. Ces enjeux sont essentiels pour l’avenir de notre ville qui oscille sans cesse entre le modèle terrifiant de Gennevilliers et notre proximité avec La Garenne-Colombes et Bois-Colombes, exemples que nous, nous voulons suivre pour l’avenir de Colombes.
Nous, nous voulons un autre modèle. Nous voulons que Colombes se tourne vers sa zone pavillonnaire et son centre-ville, enfin valorisés comme les atouts principaux vers lesquels il faut diriger nos maigres ressources, et non gaspiller notre argent public. Il faut encore réduire le train de vie de nos administrations pour enfin baisser nos impôts. Il faut que les transports, nos rues, soient à la hauteur de ce que nous attendons. Il faut que nos collèges deviennent des lieux de réussite et non des établissements qu’on évite.
Une ville prospère, tournée vers l’avenir, où la solidarité pourrait s’exercer, car les moyens seraient là. Voilà ce que nous voulons pour Colombes. Et le département, c’est le meilleur levier pour transformer notre ville.
Le département des Hauts-de-Seine, auquel nous sommes vraiment les seuls à être attachés, est en danger parce que ce département, c’est la marque de la réussite d’une gestion de Droite, de la prospérité, du dynamisme. C’est notre identité. Il est menacé de disparition. Ce serait la fin d’un partenaire puissant pour la prospérité, le développement et la croissance de notre ville.
En nous choisissant comme Conseillers Départementaux, vous aurez des représentants motivés, entièrement investis dans la lutte pour défendre votre ville et votre département, contre la tentation de supprimer les Hauts-de-Seine, pour les fondre dans le grand ensemble de la Métropole du Grand Paris. Nous pensons que les Hauts-de-Seine, même si elles sont haïes par la Gauche parce que c’est le département le plus riche de France, doivent survivre pour assurer nos modes de vie et ne pas se dissoudre dans la Seine-Saint-Denis et le Val-de-Marne, bardés de dettes.
Avec nous c’est clair ! Vous pouvez compter sur notre détermination à défendre les intérêts de de Colombes.
Karin NIRONI BUTAYE et Denis BUTAYE

 

A tous les Colombiens
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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 12:13
3e réunion publique le 12 Mars à Maintenon
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4 février 2015 3 04 /02 /février /2015 11:48
2e réunion publique à Henri Martin, le 12 février
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16 janvier 2015 5 16 /01 /janvier /2015 12:40
Réunion publique jeudi 29 janvier
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